C’est après avoir écouté une conférence donnée par J-Marc Jancovici sur les énergies renouvelables, que l’idée d’écrire ce blog m’est venue.

Comment vivre sur Terre en harmonie avec ce qui nous entoure ? À grande échelle, planétaire, mais aussi à plus petite, dans ma maison, mon appartement, mon atelier, mon jardin ?
À la sortie de ces périodes de confinement, qui a été, à mon sens, un booster d’introspection, parfois douloureux, le moment est venu de mettre en place des solutions pour se sentir bien chez soi.
Prendre soin de son intérieur, de son extérieur, comme un jardinier pourrait prendre le temps de préparer un bon terrain pour son potager avant d’y semer ce qu’il souhaiterait y voir pousser, ou ne pas pousser.
Voilà ce que les sciences ancestrales comme le Vastu en Inde, le Feng Shui en Chine, le Fusuí au Japon, le Pungsu en Corée, le Fa au Bénin, (une pensée pour Mira, que j’entends rire en écrivant son prénom) la géobiologie en France, nous enseignent.
J’aime comparer un lieu de vie au corps humain, quand le taux vibratoire baisse, pour des raisons endogènes et/ou exogènes, alors son immunité s’affaiblit aussi et peut laisser place à des déséquilibres énergétiques, et des soucis de tout ordre. Parfois, on a beau tenté de remplir un beau panier, si il est percé, rien ne pourra y contenir.
Il en est de même pour votre chez vous. De la même manière dans la nature, il existe des endroits où rien ne pousse.
Alors en zoomant, façon loupe, et en dézoomant, comme sur un plan, et c’est ce que propose la géobiologie et le Feng Shui. En étudiant les phénomènes de notre microcosme, au niveau cellulaire. L’influence des veines d’eau souterraine par exemple, sur le fonctionnement électrique de nos cellules. Puis, au niveau du macrocosme, cette fois ci planétaire, par la prise en compte de la position des étoiles et de leur projection sur les différents secteurs de votre lieu de de vie/travail.
On arrive à une approche hollistique, une «lecture» d’un lieu. Ce qui donne à réfléchir sur l’éco-construction, qui fera l’objet d’un prochain blog.

« On ne commande la nature qu’en lui obéissant »
Francis Bacon.

Francis Bacon